Une rencontre à l’Assemblée Suprême de la République Autonome de Nakhitchevan Nakhitchevan, le 18 avril (AzerTAc). Vasif Talibov, président de l’Assemblée Suprême de la République Autonome du Nakhitchevan a reçu George Friedman, fondateur et directeur exécutif et rédacteur en chef de l’agence de veille stratégique Stratfor des Etats-Unis. http://azambassade.fr/index_fr.php?ax&id=384&date=2011-04-18 |
LE GENOCIDE DE LA CULTURE ARMENIENNE PAR LES AZERIS- Djugha, l’ancien cimetière arméniéene, est une foret réel, plein de khachkares – pierres de croix, l’entier arménienne heritage culturelle dans la region de Nakhidjévan, douée a l’Azérbaidjan par Stalin. La region était détruit complétement par les turcs azéris en 2005. Parmis les khachkares détruits étaient d’églises magnifiques arméniennes construits par les natals habitants de Nakhidjévan (arméniennes), pendant les siècles precedent.
Friday, April 29, 2011
Friday, April 1, 2011

Le 17 Juillet, 2009 dans le parc au voisin de café Poplavok (Erévan) "TSIRANI" ONG a presenté une photo-éxposition des kahchkares écrasé et a survécu en plein air montrant l’histoire de la déstruction de cimetiére de Jugha (les recherches d’Argam Ayvazyan, spécialiste des khachares et les photos de Zhavén Sargsyan).
"Aujourd'hui nous ne pouvons pas rendre les khachkars de Julfa, mais par notre sensibilité et obstination nous pouvons donner l’éxemple pour empêcher la déstruction d'autres monuments: nous voulons montrer que la jeunesse arménienne a le soin et le souci pour sa culture nationale." On condemne le Génocide Culturel.
Dès le 1990, l'Azerbaïdjan détruait régulièrement le cimetière de Julfa, atteignant son apogée atrocités en décembre 2005, (environ 10.000 khachkares). Et le silence sur cette réalité dans notre société plus soulève l'importance de cet événement-l'événement de ce type permèt a parler de la catastrophe, sans les tribunes et déstitution.
Le Président de “TSIRANI” ONG Narék Ashughatoyani dit: “Nous avons été très surprise- les gens qui marchent par des images même ne les regarde pas, cependant, nous avons eu l'honneur d’écouter les mots patriotiques et inspirants.
Les gens qui s’intéressaient de problème n’étaient seulement des personnes liés à la culture. Ce facteur est particulièrement important”.
La seule façon de lutter contre les pèrtes est d’élaborer des programmes comme “TSIRANI” a été organizé.
Par Séda Shékoyan