Saturday, July 31, 2010

L’Unesco reste impuissante face à la nouvelle campagne que mêne le gouvernement azéri pour effacer toute trace de la culture arménienne sur son sol.

En août 2005, l’informaticien écossais Steven Sim entreprit un voyage périlleux au Nakhitchevan, province de l’Azerbaïdjan enclavée entre l’Arménie et l’Iran. Sur cette terre aride et grandiose, pratiquement fermée aux étrangers, ce passionné d’architecture espérait visiter plusieurs églises arméniennes, dont certaines datent du XIIe siècle. Mais ce qu’il trouva lui fit froid dans le dos : à la place des monuments répertoriés voici une quinzaine d’années, il ne restait que des tas de gravats.

Le témoignage de Steven Sim a été divulgué le mois dernier à Paris, il apporte une nouvelle preuve de la campagne menée par le gouvernement d’Azerbaïdjan pour effacer toute trace de la culture arménienne sur son sol. Par son ampleur, cette destruction méthodique rappelle celle des Bouddhas de Bamyan par le régime afghan des Talibans, en 2001, celle des monuments ottomans de Bosnie par les Serbes, dans les années 1990, ou celle, plus récente, de certaines églises serbes du Kosovo.

« Au Nakhitchevan, je suis allé voir les emplacements de huit églises arméniennes », a expliqué Steven Sim au Temps. « Je me suis rendu sur les sites, à présent vides, de deux [églises], et j’ai vu d’assez près [les sites restants] pour être à 100% certain que les six autres n’existent plus. » Ainsi, le village d’Abrakounis, dans l’imposante vallée du Yerndjak, possédait une église de 1381 ornée de fines sculptures. À l’endroit même où elle fut photographiée en 1990, il n’y a plus qu’un terrain vague jonché d’éclats de briques.

Steven Sim, qui a fini par être expulsé du Nakhitchevan pour s’être montré trop curieux, craint que toutes les anciennes églises de cette province - leur nombre est évalué entre 59 et une centaine - n’aient été anéanties. Une vidéo, prise en décembre 2005 depuis le territoire iranien, renforce cette hypothèse : on y voit des soldats réduire en miettes les croix gravées du cimetière médiéval de Djougha, situé sur la rive azérie du fleuve Araxe. Ce site, qui comptait quelques dix mille stèles au début du XXe siècle, a été aplati au bulldozer et transformé en terrain militaire.

Après la diffusion du film, le gouvernement d’Azerbaïdjan a réagi. Une lettre envoyée au Temps par son ambassadeur à Paris affirme ainsi que « le cimetière arménien de Djougha n’existe pas » et que les images montrant la destruction des croix « ne permettent pas de localiser le site photographié avec certitude ». Pourtant, au printemps dernier, une délégation de parlementaires européens s’est vue refuser l’autorisation de se rendre sur place.

Malgré des demandes réitérées, l’ambassadeur n’a pas répondu aux questions du Temps sur les destructions d’églises dénoncées par Steven Sim. Le témoignage de ce dernier est certes « orienté », puisque le coût de son voyage au Nakhitchevan a été pris en charge par une organisation arménienne, mais pour l’heure, les autorités de Bakou n’ont pas pris la peine de le réfuter.

Afin de contrer les accusations concernant le cimetière de Djougha, l’Azerbaïdjan se dit victime d’une « campagne de propagande » menée par l’Arménie et affirme que plus de cinq cent monuments azéris ont été détruits par les Arméniens. Les deux Etats se sont affrontés entre 1990 et 1994 pour la province azérie du Haut-Kharabakh, actuellement contrôlée par les Arméniens. Ils se livrent aujourd’hui une sorte de guerre froide, marquée par des échanges de tirs épisodiques.

Dans ce contexte tendu, l’influente diaspora arménienne mobilise ses amis politiques en Occident. Le 17 octobre, deux parlementaires suisses, le Vert genevois Ueli Leuenberger et le démocrate-chrétien fribourgeois Dominique de Buman, ont conduit une délégation d’élus de plusieurs pays au siège parisien de l’Unesco, division de l’ONU chargée de la sauvegarde des monuments anciens.

Mais ils sont ressortis consternés de leur rencontre avec le directeur général de l’organisation, Koïchiro Matsuura. « Nous ne sommes pas du tout satisfait, a déclaré Ueli Leuenberger à l’issue de la réunion. On a l’impression que l’Unesco n’a rien fait face à ces destructions. C’est incompréhensible. »

Car cela fait des mois, voire des années, que l’organisation a été informée du désastre culturel en cours dans le Caucase. Il y a six mois, ses fonctionnaires annonçaient l’envoi imminent d’une « mission d’experts » sur place. Depuis, plus rien. « Si on devait enquêter sur toutes les allégations de destructions de monuments dans le monde, on aurait besoin de 5000 ou 10000 employés [il y en a 2160] », expliquait au printemps dernier un cadre de l’organisation, avec un mélange de d’amertume et de désinvolture.

Aujourd’hui, l’Unesco observe un mutisme complet sur la question des monuments détruits au Nakhitchevan, et justifie son silence par de mystérieux pourparlers diplomatiques en cours. Ses relations avec le gouvernement d’Azerbaïdjan sont au beau fixe : le 19 octobre, à Paris, la femme du président azéri Ilham Aliev a assisté à un concert donné pour les 60 ans de l’Unesco sous le titre « Azerbaïdjan, carrefour des civilisations et des cultures ».


http://www.armenews.com/article.php3?id_article=27494


L’ ETAT D'AZERBAIJAN DOIT DEMANDER PARDON A LA NATION ARMENIENNE

Lors de l’émission « Cartes sur Table » qui s’est tenu sur les ondes de la radio arménienne AYP.FM le samedi 25 février 2006, le président du CCAF, Alexis Govciyan, a rappelé la nécessité d’engager des actions contre l’Etat azerbaïdjanais et sa politique anti-arménienne. Il a mis l’accent sur l’obligation qu’ont aujourd’hui les autorités politiques de ce pays de demander pardon pour les massacres de la population arménienne perpétrés durant les pogroms de 1988 à Soumgaït et à Kirovabad (Gandja), la déportation de plus de 250 000 Arméniens qui s’en est suivi, la spoliation de tous leurs biens et avoirs et la destruction de tous leurs monuments et lieux de culte. Par ailleurs, le président du CCAF a rappelé l’urgence d’une intervention de toutes les instances internationales compétentes afin que soit mis un terme à la destruction massive du cimetière historique arménien de Djougha dans la région du Nakhitchévan et que soit reconstitué tous les monuments historiques détruits depuis l’indépendance de l’Azerbaïdjan en 1991.

Cette émission, qui prenait place dans le cadre de la préparation de la manifestation du 28 février 2006 à 18h30 devant l’Ambassade d’Azerbaïdjan à Paris, organisée par l’ADL-Ramgavar, la FRA-Dachnktsoutioun, et le PSD-Hentchakian, avec le soutien du CCAF, réunissait également, Mourad Papazian, président de la FRA-Dachnaktsoutioun, Sahak Sukiasyan, porte-parole de l’organisation Terre et Culture et de nombreux députés français et européens. L’ensemble des participants a fortement insisté sur la nécessité d’une mobilisation massive des Arméniens et de leurs amis lors de ce rassemblement, qui se déroulera à l’identique le même jour partout dans le monde.

Pour leur part, les responsables et élus politiques de la République française ont promis de s’associer à cette manifestation, afin de marquer, par leur présence ou par leur soutien, d’une part leur profonde solidarité avec la Communauté arménienne dans leur combat pour la défense de leurs droits, de leur dignité et de leur mémoire ; et d’autre part leur condamnation catégorique de tous ces actes barbares qui enfreignent les valeurs élémentaires de la démocratie, de la justice et du respect de la personne humaine.

Au cours du débat, Alexis Govciyan a également demandé qu’une Commission d’Enquête Parlementaire soit formée par l’Assemblée Nationale, dont le but serait de constater sur le terrain la politique de destruction planifiée de l’Etat azerbaïdjanais, particulièrement au Nakhitchevan, sur le site du cimetière arménien de Djougha. Cette Commission pourrait être mise en place début mars, lors de la prochaine audition de Philippe Douste-Blazy, ministre des Affaires Etrangères, par la Commission des Affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale.


http://www.ccaf.info/item.php?r=0&id=126


Friday, July 30, 2010

DESTRUCTION DE MONUMENTS ARMENIENS A L'AZERBAIJAN


En décembre 2005, les autorités d’Azerbaïdjan ont repris et terminé l’entreprise de destruction du site historique de Djoulfa (Nakhitchevan). Ce parachèvement fait suite aux précédentes campagnes de démolition qu’elles avaient mises en oeuvre sur le même site en novembre 1998 et en décembre 2002.

La ville et le cimetière arménien de Djoulfa (Azerbaïdjan) constituait un site exceptionnel relevant du patrimoine de l’Humanité et qui aurait pu être inscrit à la liste de l’UNESCO. La nécropole de Djoulfa rassemblait un ensemble unique au monde de 12 000 croix de pierre sculptées (khatchkars).


La destruction de Djoulfa a été réalisée dans le but d’éradiquer les traces de la présence millénaire des Arméniens dans la région du Nakhitchevan. Maintenant qu’elle a atteint son objectif, on peut craindre que les quelques 250 autres sites arméniens du Nakhitchevan soient à leur tour visés par cette politique de « purification culturelle ».

http://eafjd.eu/spip.php?article238

Thursday, July 29, 2010

ORGANISATION TERRE ET CULTURE

SOIRÉE EXCEPTIONNELLE

salle de l’Église arménienne de Paris

DÉBAT AVEC ARGAM AYVAZIAN

(Erévan, Académie des sciences)

spécialiste du Nakhitchévan, venu spécialement en france

SUR LA DESTRUCTION DU

CIMETIÈRE ARMÉNIEN DE DJOULFA

Projection d'un film unique et inédit :

Djoulfa : le chant brisé

Rappel des faits. Le Nakhitchévan, enclave azerbaïdjanaise séparée

de l’Arménie en 1921, est depuis plusieurs années le théâtre d’actions

systématiques orchestrées par l’État azerbaïdjanais, destinées à eff acer

toute trace d’une présence arménienne dans cette région. Ceci concerne

notamment le cimetière médiéval de l’Ancienne Djoulfa, composé

d’environ 3000 tombes, stèles et croix de pierre, d’une valeur archéologique

et historique universelle. Ce site hors du commun a fait l’objet d’une

destruction planifi ée depuis 1998, qui a été achevée par des militaires

azerbaïdjanais en décembre 2005, à la faveur de l’immobilisme et du

silence des organisations internationales. Terre et Culture avait alerté

l’UNESCO à plusieurs reprises, en 1998 puis en 2002, alors qu’il était

encore possible de sauver le site. En dépit de ces appels, aucune mesure

n’a été prise, laissant entièrement disparaître un site unique au monde.

" Un crime sans nom " L'expression "meurtre de masse" rendrait-elle le concept précis de ce phénomène ? Nous sommes d'avis que non, puisqu'elle n'inclut pas le motif du crime, plus spécialement encore lorsque le but final du crime repose sur des considérations raciales, nationales et religieuses . . . Toutes ces considérations nous ont amenés à voir la nécessité de créer pour ce concept particulier un terme nouveau, à savoir le Génocide. Ce mot est formé de deux entités : "genos ", terme grec, d'un côté, signifiant race ou clan, et "cide "suffixe latin de l'autre comportant la notion de tuer.
Raphaël Lemkin, 1946





Raphaël Lemkin

Wednesday, July 28, 2010

Thursday, July 22, 2010


NAKHICHEVAN: JOURNALISTE AZERI EST DIT "REVENEZ JAMAIS"

Idrak Abbasov, un journaliste azéri; a confirmé le Décembre 2005 déstruction du cimetière de Djoulfa dans un Institute for War & Peace Reporting (IWPR): L'article en avril 2006, a été harcelé par les autorités azerbaïdjanaises à Nakhitchevan et a demandé de ne jamais visiter la région.

Dans les mots d'un autre journaliste azerbaïdjanais avec IWPR:

Un journaliste azerbaïdjanais a déclaré la semaine dernière des agents de sécurité utilisé le prétexte de lui donner une interview à la détention, l'insulte et l'abuse.

Idrak Abbasov, correspondant du journal Zerkalo et un employé de l'Institut de Reporters Liberté et la Sécurité, IRFS, avait voyagé dans la région du Nakhitchevan, qui est séparée du reste de l'Azerbaïdjan par le territoire arménien.



"Dès que je me suis assis à la table, mes mains ont été forcés et à égalité, ils ont même fermé les yeux. Ils ont pris mon téléphone, mon appareil photo et mes documents.Ils m'ont emmené dans une salle et ont commencé à poser des questions sur les raisons de mon voyage d'une manière grossière, d'injures et de menaces. J'ai essayé d'expliquer que je venais de faire rapport. Ils m'ont dit qu'aucun journaliste ne peut venir à Nakhitchevan sans l'accord des autorités locales. "

Il a dit qu'un policier lui a demandé sur les connéctions avec les journalistes locaux, puis l'ont accusé d'être un espion pour l'Arménie. Après deux heures d'interrogatoire, les agents de MTN lui dit de descendre sur le territoire de Nakhitchevan et ne jamais revenir. Il a dit que le stress avait fait se sentir mal, et il avait été transporté à l'hôpital.

Friday, July 16, 2010

Tragédie sur L’Araxe

Par Sarah Pickman

Un lieu de mémoire est effacé de la surface de la Terre.

Sur les bords de la rivière Araxe, dans la région éloignée, balayées par le vent du Nakhitchevan, est une petite zone de terre connue sous le nom Djoulfa d'origine arménienne. Aujourd'hui, le Nakhitchevan est une enclave de l'Azerbaïdjan. Des centaines d'années, presque tous les habitants de Djoulfa ont été contraints de partir quand la conquête Shah Abbas leur déménagé à Ispahan en Perse. Mais Djoulfa n'a pas été laissé complètement vide: son cimetière, le plus grand cimetière arménien dans le monde, a survécu. A l'intérieur étaient quelque 10.000 pierres tombales, la plupart d'entre eux les dalles de pierre finement sculptés appelés khatchkars. Longtemps après que la ville a été vidée, les khatchkars, qui sont uniques aux enterrements arménienne, se dressaient comme des «régiments de troupes rangées en ordre serré», selon William Ouseley voyageur britannique (19s).

Les régiments de pierre sont maintenant disparues; ventilées, toutes les pierres tombales ont été soit retirés de Djoulfa ou enterrés sous le sol. Aucune étude formelle archéologiques ont été jamais réalisée au cimetière - les dernières traces d'une communauté disparu depuis longtemps - et sa pleine signification historique ne sera jamais connu.

Une Histoire du Violence

Les plus anciennes sépultures dans le cimetière de Djoulfa (Djougha en arménien) date au sixième siècle de notre ère, mais la plupart des khatchkars est quinzième et seizième siècles, lorsque la ville était à son plus prospères comme un arrêt sur le Itinéraires de commerce de la soie et des épices entre l'Asie et la Méditerranée. Après la réinstallation forcée de 1604, le cimetière enduré a été visité par les voyageurs de l'intérieur et à l'extérieur du Caucase au cours des prochains siècles. Ils ont vu des dalles de pierre rose et jaune, entre six et huit pieds de haut, finement sculpté en relief. La plupart des khatchkars, que l'on croyait à l'aide dans le salut de l'âme, ont été décorées avec des croix et des représentations de figures saintes chrétiennes, ainsi que des représentations de plantes, des scènes de la vie quotidienne, des dessins géométriques, et les épitaphes en arménien.

Au vingtième siècle, les pierres sculptées qui avaient survécu aux forces du temps et de la nature face à une menace de l'homme. En 1903 et 1904, qui fait partie d'une ligne de chemin de fer reliant Djoulfa à la ville arménienne d'Erevan a été mis dans le cimetière, et un certain nombre de khatchkars ont été démolis pour faire place à la voie ferrée. En 1921, le gouvernement soviétique nouvellement créé, qui a récemment pris le contrôle sur le Caucase, a donné aux régions du Nakhitchevan et le Haut-Karabakh, historiquement partie du sud de l'Arménie, en Azerbaïdjan dans le cadre d'une fracture et conquérir stratégie de lutte contre le Caucase . Après les nouvelles frontières ont été établis, le Nakhitchevan a été séparé du gouvernement au pouvoir de l'Azerbaïdjan par le territoire arménien. Au cours des 70 prochaines années, la population azérie du Nakhitchevan a grandi et presque tous les Arméniens restants ont émigré à cause de pressions politiques et des difficultés économiques. Les Azéris tombait souvent en panne les monuments de pierre de Djoulfa pour utilisation comme matériau de construction, et, en 1998, selon l'organisation à but non lucratif Recherche sur l'architecture arménienne (RAA), il n'y avait que 2.000 khachkars restés.

RAA, une organisation basée sur la sensibilisation Arménie quels documents monuments architecturaux arméniens situés en dehors des frontières de la république moderne de l'Arménie, a étudié et publié des documents sur l'histoire récente de ce site archéologique. Selon RAA, la destruction continue après la chute de l'Union soviétique, et les vandales locales ne sont plus le seul groupe accusés de contribuer à la démolition. En 1998, le gouvernement arménien a fait valoir que les autorités du Nakhitchevan azéri a été délibérément démolition du cimetière dans un acte de violence symbolique et avait détruit 800 khackhars. Les Arméniens appel à l'UNESCO et le Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), essayant d'obtenir "la communauté internationale tout entière en armes", selon le député ministre de la Culture Gagik Gyurdjian. L'UNESCO a répondu en ordonnant un terme à toutes les activités destructrices dans Djoulfa. Toutefois, la démolition a commencé de nouveau en 2002, selon des témoins RAA et locales. Les derniers restes du cimetière ont été anéanties par ce passé Décembre. Sur une période de trois jours à compter de Décembre 14, 2005, un groupe important de soldats azéris détruit les autres marqueurs tombe avec des masses, des chargés de la pierre concassée sur des camions, et les ont jetés dans les eaux de l'Araxe. C'est ce que les témoins qui ont vu la dévastation à travers le fleuve en Iran affirment. Parmi eux se trouvaient des représentants de l'Eglise apostolique arménienne conseil diocésain dans la ville iranienne de Tabriz, qui ont pu prendre des photos, et une équipe de tournage arménienne, qui a capturé une part importante de l'événement à la caméra. La vidéo de ce qui a été diffusée en ligne via le service de nouvelles de la communauté arménienne, Hairenik.

L'épisode Djoulfa n'est que le dernier d'une série de controverses et les tragédies qui ont entaché les relations entre les nations modernes de l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Les tensions sont fortes ont entre les deux pays depuis peu de temps après la chute de l'Union soviétique, lorsque, comme ils ont affirmé leur indépendance, les nations a présenté des demandes concurrentes pour la région du Haut-Karabakh, qui a été sous l'autorité azérie, mais dont la population était demeurée en grande partie arménienne . parlement local de la région voté pour la sécession et de se joindre à l'Arménie, et des combats ont éclaté entre les sécessionnistes et les autorités azéries. Le conflit a dégénéré en une guerre à grande échelle impliquant les deux armées et les milices des citoyens non officielle de l'Arménie et l'Azerbaïdjan et des milliers de morts des deux côtés. Précarité de l'emploi placé, le Nakhitchevan échappé sombrer dans la violence en grande partie parce que sa population arménienne avait diminué à moins de 4.000 personnes et n'était donc pas considérée comme une menace par les autorités azerbaïdjanaises.

Bien qu'un cessez-le feu a été déclaré en 1994, l'Arménie et l'Azerbaïdjan n'ont pas encore atteint un accord définitif en ce qui concerne le Haut-Karabakh, et l'hostilité entre les deux pays rend la destruction Djoulfa, même les plus controversées.
Il ne fait aucun doute que les griefs historiques et politiques sur les revendications territoriales ont joué un rôle dans cette tentative d'éradication de la présence historique arménienne du Nakhitchevan.

Réagissant aux ruines

Indigné par la destruction du site historique, les Arméniens et les membres de la communauté internationale arménien a lancé une campagne publique et politique de soumettre la question aux yeux du monde.
RAA publié des documents imprimés et a créé des expositions en ligne de sensibilisation de l'incident et ses conséquences pour les Arméniens. Un dépliant de RAA que, «suivant l'exemple des Talibans qui ont détruit les statues de Bouddha à Bamian, en Afghanistan, l'Azerbaïdjan est l'effacement du Nakhitchevan séculaire monuments historiques, espérant ainsi à prouver que la région n'a jamais été un territoire arménien." Ministre des Affaires étrangères arménien Vartan Oskanian a protesté dans une lettre à l'UNESCO en date du Décembre 16 septembre 2005, appelant à la destruction "équivaut à l'épuration ethnique." Le Comité National Arménien d'Amérique a mené une campagne de fax à la secrétaire d'Etat américain Condoleeza Rice, demandant aux États-Unis condamnent la dévastation.

Les autorités azéri n'a pas tardé à riposter.
Après le Congrès américain arménienne Caucus co-présidents Joe Knollenberg (R-MI) et Frank Pallone (D-NJ) a condamné l'incident Djoulfa dans des lettres aux responsables azéris, ambassadeur de l'Azerbaïdjan au Pashayev États-Unis Hafez a répondu avec sa propre lettre, datée Janvier 9 , 2006. Dans ce document, il a affirmé qu'il était impossible d'identifier soit le cimetière de l'arménien ou les auteurs que azéri sur la base des vidéos diffusées sur Hairenik. "Toute accusation peut être retenue contre quiconque sur la base que les images", écrit-il, ajoutant que le ministère azerbaïdjanais de la Défense a confirmé qu'aucun de son personnel avait été impliqué dans l'incident Djoulfa. Il a affirmé l'engagement de son pays à la protection du patrimoine culturel de tous les peuples. Pashayev a ensuite conclu que les accusations arméniennes sont "sans fondement" et destinée à détourner l'attention de la destruction des sites du patrimoine arménien azéri, destruction qui comprend, selon son décompte, 1.585 mosquées, 20 musées, bibliothèques et 969.Quelques organisations culturelles et politiques azéris ne énumérer les noms des mosquées et d'autres sites qui auraient été détruits par les Arméniens sur leurs sites web (voir, par exemple, ce site), avec une grande partie de la destruction aurait passé pendant la guerre du Haut-Karabakh. Cependant, ces allégations n'ont pas encore été vérifié par les services de nouvelles internationales.

Khatchkars et de la pierre une tête de bélier sculptée de.
Photo par Sargissian Zaven, 1987. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
Ajoutant à la contrversy plus Djoulfa est la croyance répandue en Azerbaïdjan, dont la population est à majorité musulmane, que les monuments funéraires chrétiennes ont été le travail des Albanais du Caucase (sans rapport avec les Albanais des Balkans), et non pas les Arméniens.
S'adressant à la BBC Décembre dernier, Hasan Zeynalov, le représentant permanent du Nakhitchevan dans la capitale azérie de Bakou, a rejeté fermement toutes les préoccupations plus Djoulfa. "Les Arméniens n'ont jamais vécu au Nakhitchevan, qui a été territoire de l'Azerbaïdjan depuis des temps immémoriaux, et c'est pourquoi il n'ya pas de cimetières et les monuments arméniens et je n'ai jamais eu", at-il expliqué.

En dépit de cette guerre des mots et dramatiques de tous les efforts des organisations arméniennes, la couverture des, et la réponse à l'incident par les services de nouvelles internationales, les organisations et les gouvernements occidentaux ont largement été tiède.
Le Parlement européen a adopté une résolution condamnant les événements de Djoulfa en Février 2006. En ce qui concerne les États-Unis, sous-secrétaire d'Etat adjoint Matthew Bryza a qualifié l'incident de "tragédie" lors d'une conférence de presse en Arménie le mois suivant, mais il a ajouté «les États-Unis ne peuvent pas prendre des mesures pour l'arrêter comme cela se produit sur un sol étranger. " ambassadeur américain en Azerbaïdjan désigner Anne Derse, lors de son audition de confirmation mai 2006, répondu aux questions concernant Djoulfa en disant qu'elle «a encouragé l'Arménie et l'Azerbaïdjan à coopérer avec l'UNESCO pour enquêter sur cet incident." Sans surprise, ces déclarations ont créé une légère augmentation des mesures concrètes ou la couverture des nouvelles importantes, avec les articles du London Times et The Independent étant les exceptions monoparentales. De toute évidence, la communauté internationale serait plutôt le sacrifice du patrimoine culturel pour la stabilité, même temporaire et précaire, dans une région qui a connu tant de violence récemment.

Khatchkars en panne, probablement pour une utilisation comme matériau de construction.
Photo par Sargissian Zaven, 1987. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
Au-delà de la communauté arménienne, de nombreux archéologues et chercheurs ont également dénoncé la fois la démolition du cimetière et l'absence de réponse de la communauté internationale.La destruction du cimetière de Djoulfa est «un épisode honteux en ce qui concerne l'humanité avec son passé, un acte déplorable de la part du gouvernement de l'Azerbaïdjan, qui nécessite à la fois l'explication et la réparation», explique l'anthropologue Adam T. Smith de l'Université de Chicago,
qui a creusé en Arménie.

Smith, ainsi que d'autres archéologues et des étudiants de six pays occidentaux, a envoyé une lettre aux associations culturelles arméniennes et envoyé des copies à des organisations américaines et internationales archéologiques et la conservation, les membres du Congrès des États-Unis et l'UNESCO.
Dans ce document, ils ont exprimé leur colère face à la destruction du cimetière historique, le qualifiant de "violation de la mémoire des ancêtres et une agression contre le patrimoine culturel commun de l'humanité." Dans le même temps, les signataires ont condamné le gouvernement arménien pour dénoncer la perte du cimetière tout en omettant de protéger les sites du patrimoine culturel au sein de ses frontières qui sont menacés par l'industrie, le développement et la faible autorité de son ministère de la culture. À la mi-Juin 2006, les savants n'ont pas reçu de réponses à leur lettre.

Une section du cimetière, débarrassé de ses khatchkars.
D'autres monuments de pierre restent debout haut sur la colline. 1998. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
Chercher la Vérité

Quatre mois après la dernière des khatchkars ont été démantelés et retirés du cimetière, selon les observateurs en Iran, de l'extérieur, enfin rendu à Djoulfa d'enquêter.
En avril 2006, un journaliste du personnel de la unamed à but non lucratif, basée à Londres, Institute for War and Peace Reporting, le premier journaliste à l'extérieur pour étudier la question sur le site, se sont rendus à la zone de Djoulfa. Accompagné à tout moment par les agents de sécurité azéri, et non autorisées à visiter le site actuel du cimetière, il était assez près pour voir que le paysage a été entièrement dépouillée de tout monuments. Lorsque photos antérieures avaient indiqué qu'il y avait de magnifiques stèles funéraires en pierre, il n'y avait que le sol nu.

Plus tard ce mois, dix membres de l'Union européenne du Parlement (députés) se sont vu refuser l'accès à Djoulfa par les autorités azéries après avoir voyagé au Nakhitchevan pour étudier les rapports de témoins oculaires.
L'Azerbaïdjan insiste sur le fait qu'il ne permettra pas une telle délégation pour afficher les sites, à moins qu'il visite également des sites présumés de la destruction des Arméniens azérie patrimoine culturel. Ce refus a suscité la suspicion parmi de nombreux observateurs arméniens et internationaux des revendications de l'Azerbaïdjan de la non-participation. Said Hannes Swoboda, un député européen autrichien et membre de la délégation interdit, dans The Independent, "Si quelque chose est caché, nous voulons demander pourquoi. Il ne peut être parce que certaines des allégations sont vraies."

Le cimetière, partiellement dégagé des khatchkars.
Selon des témoins oculaires, les voitures de chemin de fer comme celui de cette photo ont été utilisés au panier loin pierres brisées. Photo par Petrossian Arpiar, 1998. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
Indépendamment de toutes les conclusions tirées des comptes des séquences vidéo et des témoins oculaires, Djoulfa se trouve juste en face de l'Araxe de l'Iran.
Comme il s'agit d'une zone frontalière, le gouvernement azéri forces de patrouille de la zone fortement, et il est peu probable qu'un tel incident aurait pu avoir lieu à leur insu, sinon la complicité ou la participation. Comme le Parlement européen a noté dans sa déclaration Février, l'Azerbaïdjan a ratifié la Convention du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1993. En omettant de protéger les khatchkars et pierres tombales d'autres il a violé son accord en vertu de cette convention de préserver et de protéger le patrimoine culturel. L'Azerbaïdjan, un membre du Conseil de l'Europe, est également tenue à la législation de la Convention de La Valette de 1992, qui oblige les États membres à protéger le patrimoine archéologique au sein de leurs frontières.Ainsi, indépendamment de l'identité des auteurs, les événements de Décembre 2005 représentent violation de l'Azerbaïdjan, ou l'échec à la hauteur de, les accords internationaux qu'il a signés.Même si, comme Pashayev affirme, le gouvernement azéri n'a pas commis la profanation de Djoulfa, il était encore chargé de protéger les khatchkars.

Khatchkars jeté à terre.
2002. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
Briser le cycle

La profanation des motivations politiques des sites culturels, y compris les cimetières, n'est pas unique dans le Caucase du sud.Durant la récente guerre au Kosovo, musulmans extrémistes albanais détruit de nombreux cimetières serbes et d'églises chrétiennes d'accompagnement.
Dans plusieurs cas, les restes ont été exhumés des tombes et les cimetières éparpillés, dans un message puissant pour décourager les Serbes de retourner dans leurs villages.

En Mars 2003, graffiti a été découvert sur un grand mémorial au cimetière militaire d'Etaples dans le Pas-de-Calais, en France, où 11 000 soldats britanniques, dont la plupart sont morts pendant la Première Guerre mondiale, sont enterrés.
pulvérisation Messages peints sur le monument attaqué l'Angleterre et son allié dans la guerre en Irak, les États-Unis, et notamment les expressions «Dig vos poubelles, c'est contaminer notre sol», «Rosbeefs [un terme d'argot péjoratif pour les Britanniques] aller la maison, »et« Sadam [sic] va gagner et verser ton sang. " Une majorité de citoyens français opposés à la guerre dans laquelle l'Angleterre et les États-Unis sont engagés, et les vandales ont tenté de diffuser leurs griefs politiques contre les modernes en attaquant leurs adversaires passé sacré.

L'année dernière à Mogadiscio, la capitale de la Somalie, le gouvernement local a fermement condamné les actes de vandalisme d'un cimetière de l'époque coloniale, où les corps de plus de 700 expatriés italiens ont été exhumés et dispersés.Gouverneur de la région Abdullah Hassan Firimbi, parlant avec la ligne Nouvelles quotidiennes arabes, a déclaré que les vandales qui ont commis ces actes étaient des rebelles anti-gouvernementaux, et la profanation a été une protestation contre le nouveau gouvernement somalien, qui est dépendante de l'aide étrangère de l'Italie.

Un autre domaine de cassé, khatchkars dispersés.
2002. (Avec l'aimable autorisation de Recherche sur l'Architecture Arménienne)
La récente destruction de Djoulfa est un exemple parmi d'autres où la violence symbolique contre les morts est utilisé comme une expression de l'inimitié moderne.
Dans le sud du Caucase, une étrange relique soviétique géopolitique a alimenté l'animosité, la violence et la dévastation culturelle. Mais est-il une voie à suivre les événements au cimetière de Djulfa?

Dans leur lettre, Smith et ses collègues universitaires demandé au gouvernement azéri de commande immédiatement une équipe internationale de conservateurs et archéologues pour remettre le cimetière le plus possible.
Ils ont également appelé à une conférence sur la gestion du patrimoine dans le Caucase du sud qui pourrait écrire et appliquer des lignes directrices pour la préservation des sites historiques et des matériaux dans la région, ainsi «apporter [ant] un engagement positif à la préservation du patrimoine à partir d'un événement tragique." Les dommages causés à ce site archéologique est irréversible, mais il pourrait marquer la fin de ces tragédies et être le point de départ d'un nouvel engagement à la préservation ici et d'ailleurs.

Malgré le va-et-vient blâmer entre les Arméniens et les Azéris, et les questions entourant les auteurs ultime, le cimetière de Djoulfa, un endroit d'une beauté unique et l'importance culturelle de la communauté arménienne, a été effacé.
Il est important que les auteurs soient traduits en justice, mais il peut être plus important que cet événement recevoir une attention beaucoup plus grande de la communauté internationale qu'il ne l'a. C'est un récit édifiant, et la destruction de précieux sites culturels, comme ce cimetière sur l'Araxe, ne doit pas être autorisé à se reproduire.

http://www.archaeology.org/online/features/djulfa/index.html

Wednesday, July 14, 2010

LES KHATCHKARS DE JULFA(N'EXITENT PLUS A CAUSE DU GENOCIDE CULTUREL PAR LES AZERIS TURQS)
LES UNIQUES KHACHKARES DE DJOULFA DETRUITS PAR LES AZRIS TURKS
LA CIMETIERE DE DJUGHA AVANT LA DESTRUCTION( PAR LES AZERIS)
KHACHKARES DE JULFA DETRUITS PAR LES AZERIS TURKS

KHACHKARES DE JUGHA

Sunday, July 11, 2010

L'Arménie appelle à expulser le site Azerbaïdjan.

La Commission pour la protection des monuments Arméniens appel à la communauté internationale appelant à l'envoi de troupes au Nakhitchevan, en Azerbaïdjan, monuments arméniens de préserver et de garantir la sécurité des Arméniens du Nakhitchevan qui veulent retourner dans leur patrie.
La Com mission a également demandé une enquête est menée au Nakhitchevan, et Julfa en particulier, sur le nombre de monuments historiques et culturels.
"Nous demandons que l'Azerbaïdjan est expulsé par l'UNESCO et d'autres organisations internationales. L'Azerbaïdjan devrait être tenu responsable devant les instances internationales qui organise un génocide culturel ", tel qu'il est exprimé historien Rafael Hambartsumyan, coordinateur de la Com mission.


Bakou (Trend.az)-Azerbaïdjan a été élu à l'adhésion de quatre ans terme d'un comité du patrimoine culturel clés de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, le ministère des Affaires étrangères azerbaïdjanais a rapporté jeudi.
Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est considéré parmi les structures les plus influents de l'organisation et la traite des pratiques, représentations, expressions, connaissances, les compétences, les instruments, objets, artefacts et espaces culturels que les groupes et les communautés à reconnaître le patrimoine culturel comme .
"L'entrée de l'Azerbaïdjan dans le comité va lui permettre de jouer un rôle important et faire partie de la discussion sur immatériel du monde du patrimoine culturel,« le ministère des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué, ajoutant que la position unique permettra également l'Azerbaïdjan de désigner son propre bagage culturel patrimoine à l'inscription dans la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel.
L'Arménie, qui a également été nominé pour le corps de 24 membres, n'a pas obtenu le nombre de voix nécessaires pour monter sur le corps.
Les élections pour le corps de l'UNESCO ont eu lieu au cours général de l'organisation de l'Assemblée à Paris à partir de Juin 22-24. Selon Trend.az, de l'Azerbaïdjan à la Mission permanente auprès de l'UNESCO et les envoyés de divers nationales stationnées dans les pays étrangers fortement fait pression sur l'UNESCO et ses membres participent à voter en faveur de l'Azerbaïdjan.
«En tant que résultat du travail mené par le ministère des Affaires étrangères et d'autres structures concernées, l'Azerbaïdjan a été élu membre de la commission intergouvernementale de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel pour la période 2010-2014, a dit le ministère.
l'élection de l'Azerbaïdjan est en dépit d'une campagne systématique menée par son gouvernement entre 1998 et 2005 pour détruire complètement un cimetière de khatchkars arméniens médiévaux (croix de pierre) près de la ville de Djoulfa, Nakhitchevan. Un territoire historique arménien, Djoulfa a été en vertu de la règle d'Azerbaïdjan depuis le début des années 1920 lorsque l'Arménie a été soviétisée et ses territoires annexés par la Turquie, l'Azerbaïdjan et la Géorgie.
Les nombreux appels ont été déposés par les deux arménienne et les organisations internationales, en condamnant le gouvernement d'Azerbaïdjan et l'invitant à renoncer à une telle activité. En 2006, l'Azerbaïdjan interdit membres du Parlement européen d'enquêter sur les revendications, les accusant d'un "parti pris et hystérique" approche à la question. Au printemps 2006, un journaliste de l'Institute for War & Peace Reporting qui ont visité le cimetière a écrit qu'il avait "complètement disparu." Dans la même année, les photographies prises à partir de l'Iran a montré que le cimetière avait été transformé en un champ de tir militaire gamme.

Bakou (Trend.az)-Azerbaïdjan a été élu à l'adhésion de quatre ans terme d'un comité du patrimoine culturel clés de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, le ministère des Affaires étrangères azerbaïdjanais a rapporté jeudi.
Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est considéré parmi les structures les plus influents de l'organisation et la traite des pratiques, représentations, expressions, connaissances, les compétences, les instruments, objets, artefacts et espaces culturels que les groupes et les communautés à reconnaître le patrimoine culturel comme .
"L'entrée de l'Azerbaïdjan dans le comité va lui permettre de jouer un rôle important et faire partie de la discussion sur immatériel du monde du patrimoine culturel,« le ministère des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué, ajoutant que la position unique permettra également l'Azerbaïdjan de désigner son propre bagage culturel patrimoine à l'inscription dans la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel.
L'Arménie, qui a également été nominé pour le corps de 24 membres, n'a pas obtenu le nombre de voix nécessaires pour monter sur le corps.
Les élections pour le corps de l'UNESCO ont eu lieu au cours général de l'organisation de l'Assemblée à Paris à partir de Juin 22-24. Selon Trend.az, de l'Azerbaïdjan à la Mission permanente auprès de l'UNESCO et les envoyés de divers nationales stationnées dans les pays étrangers fortement fait pression sur l'UNESCO et ses membres participent à voter en faveur de l'Azerbaïdjan.
«En tant que résultat du travail mené par le ministère des Affaires étrangères et d'autres structures concernées, l'Azerbaïdjan a été élu membre de la commission intergouvernementale de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel pour la période 2010-2014, a dit le ministère.
l'élection de l'Azerbaïdjan est en dépit d'une campagne systématique menée par son gouvernement entre 1998 et 2005 pour détruire complètement un cimetière de khatchkars arméniens médiévaux (croix de pierre) près de la ville de Djoulfa, Nakhitchevan. Un territoire historique arménien, Djoulfa a été en vertu de la règle d'Azerbaïdjan depuis le début des années 1920 lorsque l'Arménie a été soviétisée et ses territoires annexés par la Turquie, l'Azerbaïdjan et la Géorgie.
Les nombreux appels ont été déposés par les deux arménienne et les organisations internationales, en condamnant le gouvernement d'Azerbaïdjan et l'invitant à renoncer à une telle activité. En 2006, l'Azerbaïdjan interdit membres du Parlement européen d'enquêter sur les revendications, les accusant d'un "parti pris et hystérique" approche à la question. Au printemps 2006, un journaliste de l'Institute for War & Peace Reporting qui ont visité le cimetière a écrit qu'il avait "complètement disparu." Dans la même année, les photographies prises à partir de l'Iran a montré que le cimetière avait été transformé en un champ de tir militaire gamme.

UNE ARMEE A PLACE DE CIMETIERE DE JUGHA (DETRUIT PAR LES AZERIS TURQS)


Wednesday, July 7, 2010

Destruction du cimetière arménien de Julfa

Pendant longtemps, il ya eu des plaintes concernant la destruction des monuments arméniens et des sites en Azerbaïdjan, la Géorgie et la Turquie, trois des pays voisins de l'Arménie. Un exemple particulièrement triste, c'est la destruction du cimetière arménien dans l'ancienne ville de Djoulfa, situé dans le sud de Nachitchevan, une région relevant de la souveraineté de l'Azerbaïdjan.
Ce cimetière, qui avait été en usage depuis le début du Moyen Age à la destruction de la ville en 1605, a été un témoignage exceptionnel de la culture arménienne en raison des milliers de pierres tombales pour la plupart des 15e et 16e siècles sous la forme de khatchkars dite. Le processus de destruction, qui a commencé en 1998 où 800 khatchkars ont été enlevés, a été temporairement interrompue suite aux protestations de l'UNESCO, mais en Novembre 2002, il a été repris. Lorsque l'ICOMOS a été informé et donné des photos de cet acte barbare dans une zone frontalière à distance par RAA (recherche sur arménien Architecture) en Janvier 2003 et par l'ICOMOS Arménie en Février 2003, la destruction, qui ne peut avoir été réalisée à travers sans le consentement de l'Azerbaïdjan gouvernement, a été déjà accompli: «Le Janvier 10th M. Haghnazarian auteur [du] rapport suivant a été appelé par le très angoissé évêque arménien de Tabriz (Iran) qui l'a informé qu'il est allé à la partie iranienne de l'Araxe fleuve, en face du cimetière de Djoulfa il ya quelques jours pour voir de ses propres yeux ce qui semblait incroyable pour lui: Le cimetière 1500-ans avait été complètement aplati dans l'intervalle. "

Il ne reste que l'espoir que, sous la direction de l'UNESCO, il sera possible d'étudier la situation sur place et de prendre soin des restes de pierres tombales, transporter par chemin de fer Azerbaïdjan probablement à être utilisé comme matériau pour les mesures de renforcement. Heureusement, vive protestation aura au moins empêcher la démolition de plusieurs sites du patrimoine arménien en Azerbaïdjan dans le futur.
La destruction intentionnelle du cimetière de Djoulfa doit être considéré comme un crime contre le patrimoine commun de l'humanité. En dehors de cela tout ce qui reste est une profonde tristesse pour la perte irremplaçable.

Voici le rapport de RAA:
Khatchkars sont contre-pierres d'environ un mètre de largeur et jusqu'à 2,50 mètres de haut, richement décorée de symboles chrétiens, des fleurs et des plantes grimpantes arabesque ainsi que sur des sujets de la vie quotidienne. Ces pierres délicatement gravés représentent une tradition de 1500 ans, des tailleurs de pierre arménienne.
Khatchkars sont uniques et ont été utilisés comme des stèles sur pied, mais aussi comme ornements dans la maçonnerie des églises arméniennes et les cloîtres. Depuis le début du Moyen Age, ils ont été utilisés comme pierres tombales dans les cimetières.

L'un des cimetières en circulation en raison du nombre exceptionnel d 'khatchkars est celui de l'ancienne ville de Djoulfa (ancien nom Djugha) dans le sud de droit Nachitchevan sur la rive du fleuve Araxe, qui forme la frontière avec l'Iran.
Alexander Rotes mentionne ce cimetière dans sa description de voyages en 1648 et les rapports de 10.000 pierres entièrement décoré de la Croix. En 1605, le peuple arménien de Djoulfa ont été contraints par Shah Abbas à régler en Perse afin d'avoir le commerce et le commerce développés par eux dans son pays. Il a détruit la ville pour empêcher leur retour, cependant quitté le cimetière intact. Au début du 20e siècle 6000 d'orientation et d'khatchkars permanent étaient encore comptés.

Après l'Arménie a été intégrée à l'Union soviétique Nachitchevan dans le sud de l'Arménie a été déclarée une partie de l'Azerbaïdjan à Staline et à la diligence de Lénine en 1922.Nachitchevan est encore sous la souveraineté politique de l'Azerbaïdjan.

Pendant le règne soviétique, cette historiquement et culturellement unique cimetière de Djoulfa n'était pas du tout sous la protection des monuments historiques de l'Azerbaïdjan.Au contraire.
Après 1922, un grand nombre de khatchkars disparu. Considérant l'étroite surveillance de la frontière de la zone militaire interdite cela ne pouvait avoir lieu sans la connaissance du gouvernement. Et plus la destruction était encore à venir.

En Novembre 1998 les témoins oculaires de la zone frontière iranienne observée pierres tombales en cours de fouille par une grue et chargés sur des wagons de chemin de fer sur les terrains du cimetière dans le fleuve Araxe.
Le sol déchiré-up a ensuite été rendue encore plus par les bulldozers. Cette destruction a duré trois semaines et environ 800 khatchkars ont été emmenés. Il ya des raisons de croire que ces contre-pierres - sinon détruit tout de suite - ont été utilisés comme matériau de construction pour les fondations de nouvelles maisons pour cacher leur suppression. Le transport par chemin de fer de l'État est une preuve claire de l'action envisagée par le gouvernement de l'Azerbaïdjan. Les protestations au nom de l'UNESCO et des organisations affiliées enfin mettre un terme à ces activités barbares.

A notre grand regret l'outrage culturel qui se passe.
Des sources fiables nous ont informés que la destruction non seulement des pierres tombales, mais aussi de l'actuelle encore, bien que considérablement réduit les églises et les motifs cloître dans le domaine a été repris le 9 Novembre 2002. Un grand nombre d'ouvriers sont à nouveau démantèlement des reliques précieuses du Moyen-Âge chrétien de la culture en partie par les démolir et en partie par les emmener sur des camions vers une destination inconnue. Et encore une fois ce ne peut être faite sans l'autorisation du gouvernement.

On ne peut s'empêcher d'établir un parallèle à la destruction fondamentalement motivé des statues de Bouddha par les talibans en Afghanistan, qui était accompagné de protestation dans le monde entier.
Comparable à ce cas nous sommes ici confrontés à l'effacement systématique de monuments religieux d'une culture étrangère, la seule différence étant que la destruction de Nachitchevan concerne l'histoire de la civilisation européenne.

Azerbaïdjan a signé la Convention du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1993 et est représenté à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. L'Azerbaïdjan s'est par conséquent engagée aux objectifs de cette institution et devrait être invité à rendre compte de son action dans Nakhitchevan.

Dr. Armen Haghnazarian
Dr. Dieter Wickmann


http://www.international.icomos.org/risk/2002/azerbaijan2002.htm